Le simulateur de conduite Oscar 2 de Codes Rousseau, développé en partenariat avec Acreos, est doté de caractéristiques techniques exclusives (siège situé à ...
Si conduire peut sembler simple et anodin, on sait que certaines maladies rendent cela difficile, voire impossible. Des maladies incompatibles avec la conduite En effet, de nombreuses pathologies peuvent altérer les facultés nécessaires à la conduite d’un véhicule, rendant ainsi la route dangereuse non seulement pour le conducteur, mais aussi pour les autres usagers. Ainsi, le gouvernement a abrogé le 28 mars 2022, un arrêté datant de 2005, qui dressait une liste de maladies incompatibles avec la conduite. Cette décision vise à prendre en considération les avancées scientifiques et technologiques qui ont eu lieu au cours des dernières années, notamment en matière d’aménagement des véhicules et d’aides à la conduite. Les nouvelles technologies, comme les systèmes d'assistance à la conduite (ADAS), les véhicules semi-autonomes, ou encore les innovations en matière de contrôle de la vigilance, offrent aujourd’hui des solutions qui peuvent permettre à certaines personnes atteintes de pathologies spécifiques de continuer à conduire en toute sécurité, sous certaines conditions. Cependant, certaines interdisent toujours de prendre le volant Une liste détaillée : Le site de la Sécurité routière souligne que les pathologies les plus souvent incompatibles sont l’épilepsie, les troubles cognitifs, les maladies cardiaques graves, les problèmes de vision importants, ainsi que les addictions à l’alcool ou aux drogues. Ces affections, en affectant directement des fonctions essentielles comme la vigilance, la capacité de réaction, ou encore la vision, représentent un risque majeur pour la sécurité routière. Par ailleurs, les maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer, à partir du stade 3 de l’échelle de Reisberg, constituent également une contre-indication à la conduite. À ce stade, les patients commencent à présenter des troubles cognitifs significatifs qui peuvent altérer leur jugement, leur orientation dans l’espace, et leur capacité à prendre des décisions rapides. Les troubles psychiatriques sévères, tels que la psychose aiguë ou chronique, peuvent également représenter un danger sur la route. Ces troubles peuvent entraîner des comportements imprévisibles ainsi qu’un manque de perception de la réalité
Réponse : C’est une habitude notamment en vacances ou lors de fortes chaleurs : un certain nombre d’automobilistes n’hésitent pas à conduire en tongs, sandales ou en claquettes. Un lecteur du journal se demande si cette pratique est autorisée La loi ne l’interdit pas Aucun texte dans la loi française n’interdit explicitement de conduire en tongs ou n’oblige à porter un certain type de chaussures pour prendre la route. Mais selon l’article R 412-6 II du Code de la route, tout conducteur doit se tenir constamment en état et en position d’exécuter commodément et sans délai toutes les manœuvres qui lui incombent , est-il précisé sur le par le Groupe auto-école By Montaigne Tongs, claquettes ou encore sandales, peuvent donc être considérées comme des éléments nuisant à la fluidité de certaines manœuvres du conducteur, notamment pour appuyer sur les pédale À la discrétion des forces de l’ordre Rien n’indique donc noir sur blanc que le port des tongs, claquettes et sandales est prohibé au volant. Pour autant, les forces de l’ordre ont une certaine liberté d’appréciation. Par exemple, si un agent de police vous arrête alors que vous conduisez en tongs, il peut déterminer que ça représente un danger et vous verbaliser.Dans ce cas, vous êtes passible d’une amende forfaitaire de deuxième classe. Son montant est de 35 €, minoré à 22 € si vous payez immédiatement, détaille L’Auto-journal sur son site Internet. Attention, si vous n’avez pas de chaussures de rechange dans la voiture, le véhicule peut être mobilisé. Bonne nouvelle, le port de tongs ou claquettes ne peut entraîner un retrait de point sur le permis de conduire.En cas d’accident Vous l’avez compris, porter des chaussures non fermées lorsque l’on conduit est fortement déconseillé. Vous n’êtes, par exemple, pas à l’abri qu’une tong se coince derrière la pédale et perturbe votre manœuvre. En cas d’accident, l’assurance du conducteur pourra le considérer comme fautif et réduire, voire exclure son droit à indemnisation , est-il souligné sur le site du cabinet d’avocats en droit routier Franck Cohen.
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